« Ce n’est plus moi qui vis»: La déclaration poignante d’Ariel Sheney après le double deuil, émeut la toile  

« Ce n’est plus moi qui vis»: La déclaration poignante d’Ariel Sheney après le double deuil, émeut la toile

Il y a des paroles qui traversent l’âme comme une lame silencieuse. Des mots qui ne sont pas dits pour impressionner, mais pour survivre. Aujourd’hui, Ariel Sheney ne parle pas en tant qu’artiste, ni en tant que star adulée, mais en tant qu’homme brisé, debout malgré l’effondrement intérieur.

Après avoir enterré son épouse, puis son père, en l’espace de quelques jours, Ariel Sheney a enfin trouvé la force de s’exprimer. Et ses mots, simples mais puissants, résonnent comme un cri du cœur, un témoignage de foi, de douleur et d’abandon total à Dieu.


Une carrière bâtie à deux

« J’ai bâti ma carrière avec celle que vous connaissez. »

Cette phrase, à elle seule, raconte une histoire entière. Derrière chaque succès d’Ariel Sheney, derrière chaque chanson, chaque scène, chaque applaudissement, il y avait elle. Son épouse. Sa compagne de l’ombre. Celle qui croyait quand les autres doutaient. Celle qui soutenait quand la fatigue gagnait. Celle qui portait la vision avec lui.

Le public voyait l’artiste. Mais derrière l’artiste, il y avait un couple. Une équipe. Une union bâtie sur l’amour, la patience et la foi. Sa femme n’était pas seulement une épouse, elle était une partenaire de destinée.

La perdre, c’est perdre bien plus qu’un être cher. C’est perdre une partie de soi. C’est voir s’effondrer un pilier invisible mais essentiel.


« Mon épouse était ma force »

Ces mots sont lourds. Profondément lourds.

La force, ce n’est pas toujours ce qui se voit. La force, c’est parfois une voix douce qui rassure. Une présence silencieuse qui apaise. Un regard qui redonne confiance quand tout vacille.

Son épouse était cette force-là. Celle qui le relevait sans bruit. Celle qui portait son cœur quand il était trop fatigué pour le faire lui-même.

Aujourd’hui, cette force n’est plus physiquement là. Et le vide qu’elle laisse est immense. 😥


« Mon père était ma boussole »

Après la perte de son épouse, Ariel Sheney a dû faire face à un autre séisme : la disparition de son père.

Un père, c’est une direction. Une référence. Une racine.
C’est celui qui montre le chemin, même sans parler.
Celui dont la simple existence donne un sentiment de sécurité.

En disant « mon père était ma boussole », Ariel Sheney révèle à quel point cet homme guidait sa vie, ses choix, ses valeurs. Perdre son père, c’est perdre le nord. C’est avancer sans repère, avec le cœur en déséquilibre.


Quand Dieu retire la force et la boussole

« Dieu a retiré ma force et ma boussole. »

Cette phrase est d’une sincérité bouleversante. Elle ne cache pas la douleur. Elle ne maquille pas la souffrance. Elle dit la réalité crue : tout ce qui soutenait Ariel Sheney a été arraché en même temps.

Sa femme. Son père.
La force et la direction.
L’amour conjugal et l’amour paternel.

En un seul mois, la vie a tout pris.


L’abandon total à la volonté divine

« Je m’incline devant Sa volonté. »

Peu de personnes sont capables de dire cela au cœur de la tempête. Peu sont capables d’accepter sans comprendre. Peu sont capables de continuer à croire quand tout fait mal.

Ces mots ne sont pas une résignation. Ils sont un acte de foi extrême. Une soumission douloureuse mais sincère à Dieu.

Ce n’est pas facile de dire « que Ta volonté soit faite » quand le cœur saigne. Et pourtant, Ariel Sheney le fait.


Debout, mais porté par Christ

« Et si vous me voyez encore tenir debout et danser, ce n’est plus moi qui vis mais c’est Christ qui vit en moi. »

Cette phrase est sans doute la plus puissante de toutes. Elle révèle une vérité profonde : Ariel Sheney ne tient plus par ses propres forces.

S’il sourit encore.
S’il monte encore sur scène.
S’il danse encore devant le public…

Ce n’est pas parce que la douleur est partie.
C’est parce que sa foi le porte.

C’est un témoignage rare, fort, authentique. Une déclaration qui dépasse la musique et touche au spirituel.


L’artiste et l’homme

Beaucoup verront encore Ariel Sheney chanter. Peu verront ses nuits blanches. Peu verront ses larmes silencieuses. Peu verront le combat intérieur.

Mais aujourd’hui, à travers ses mots, il nous rappelle une chose essentielle : les artistes sont humains. Ils ressentent. Ils souffrent. Ils perdent. Ils pleurent.


Un message qui touche les cœurs

Son témoignage dépasse son histoire personnelle. Il parle à tous ceux qui ont perdu un être cher. À ceux qui se demandent comment continuer. À ceux qui avancent par la foi, même quand tout semble fini.

C’est un message d’espoir au milieu de la douleur.


PS : Que Dieu l’aide 😥

Oui. Que Dieu l’aide.
Qu’Il le console.
Qu’Il le fortifie.
Qu’Il panse ses blessures invisibles.

🕊️ Que l’âme de son épouse repose en paix.
🕊️ Que l’âme de son père repose en paix.

Et que le courage d’Ariel Sheney inspire tous ceux qui traversent l’épreuve.

💔 Debout, mais porté par la foi.
🙏 Que Dieu l’aide.

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